Depuis plus de 10 ans, la serre de Cary Potet, à Buxy, résonne à la tombée du jour au son de toutes les musiques du monde.
Au coeur des vignes, la chaleur des musiciens rejoint celle du Montagny.
Évidemment, les gestes barrière fixés par le gouvernement et en vigueur à ces dates seront scrupuleusement respectés (masques, gel hydroalcoolique, distanciation avec jauge réduite – 110 places par concert au lieu de 170 – , circulations).
Trio de Jazz de Laurent Epstein
Laurent Epstein, piano
William Brunard, contrebasse
Philippe Maniez, batterie
Standards et compositions personnelles
Le trio de Laurent Epstein se distingue sur scène par son énergie communicative et son sens des nuances.
Tant sur des grands classiques du jazz que sur des compositions ou des morceaux inattendus, complicité, interaction et swing sont toujours présents.
Les trois musiciens font partie des plus actifs de la scène actuelle, et se sont produits à travers le monde aux côtés des musiciens les plus prestigieux !
Opérettes
Richard Bousquet,
Philippe Pistole,
Christophe Query, ténors
Anne Cleary, piano
Les deux aveugles d’Offenbach
Les deux vieilles gardes de Delibes
Trois ténors et une pianiste jouent deux courtes pièces qui ont en commun de ne pas prendre au sérieux notre humble condition humaine. Des textes truculents sont servis par des compositions musicales injustement méconnues car la malice et le génie d‘Offenbach, Leo Delibes et Boeldieu s‘entendent tout autant sous le lierre , la pierre et le verre d’un théâtre à ciel ouvert (ou presque) qu’entre les colonnes de marbre d’un grand théâtre !
Récital de piano
Glass / Barnes : Trilogy Sonata
Ravel : extraits des Miroirs
Pepin : Number 1
Bernstein / Oneto Bensaid : Danses symphoniques de West Side Story
Valérie et Charles Henri de Rovira
Valérie dessine à partir d’observations de la nature, à l’affut d’un mouvement d’arbres, d’une vague, d’une mouette… Ses carnets sont griffonnés d’instant croqués sur le vif. Le papier boit l’eau, l’encre se mélange, éclaboussures, coulures, un élan vers la nature.
Le matin devant une tasse de thé, Charles Henri tourne les pages du journal à la recherche d’une tête ! Une expression, un regard, quelque chose qui capte son attention. Ses dessins évoquent une promenade et un entrelacs de lignes au Bic, bleues, noires ou rouges, à la recherche d’une expression