Vincent est architecte, mais pas que.
C’est aussi LE boss du Stabilo.
Il a 50 piges. Il y voit moins clair. Juste assez de lumière.
Dessiner flou avec quelques surligneurs de bureau bien épais à couleurs bien franches : C’est sa coquetterie.
Il voyage déjà suffisamment encombré.
Né en 1967 à Nîmes, il y a ouvert les yeux sur la lumière et la couleur dans l’atelier du peintre Pascal Thouvenin.
Il s’est confronté à la sculpture avec Vincent Barré.
Etudes d’architecture à Montpellier, puis à l’école de Paris-Belleville.
Vincent a pris la mer : barman puis quartier maitre dans la marine nationale.
Il a vécu plusieurs années au Sénégal sur l’ile de Gorée et ce sera son sujet de diplôme d’architecte en 1999.
Il exerce son travail d’architecte partagé avec l’enseignement du dessin à l’école d’architecture de Bretagne dans l’atelier d’O. Chaslin.
Il anime des ateliers en ligne avec “LE PAON” ou sur le vif dans les festivals de dessin (Clermont dessine, Carnets d’Hiver…).
Il rejoint le mouvement « Urban Sketchers » en 2018.
il vit printemps automne hiver en Bretagne et l’été dans les Cévennes.
Son travail de « perspectiveur » et d’architecte obnubilé par les lumières choisies se nourrit de ses dessins quotidiens.
Vincent expose régulièrement et dans de nombreux Salons de Carnet de voyage : Venise, festival du dessin d’Arles…
Le champ d’ignorance de Vincent s’étend dans ses carnets :
Prague, Manhattan, Djenné, Gorée, Chinguetti, et Venise, et les iles bretonnes…
Son jardin aussi bien que le Sahara.
Architecte à l’affut de la lumière matière de l’espace. A mettre en chantier : rien ne vaut la route.
Et le retour, les bagages bourrés de questionnements à partager.
Exposition en 2024